26 oct. 2016 Après l'Afrique du Sud et le Burundi, c'est la Gambie qui a annoncé mardi son retrait de la Cour pénale internationale (CPI). Jamais un seul Opening of the 2020 Judicial Year and Third Annual Judicial Seminar en Afrique du Sud, https://www.icc-cpi.int/itemsImages/191107-event-pretoria.jpg? 7 juil. 2017 Depuis plusieurs années, les 124 pays membres de la juridiction débattent de sanctions à mettre en place en cas de non-coopération d'un Etat, 27 oct. 2017 Même si ce retrait n'annonce pas un départ massif, la CPI – qui compte encore 123 membres – est affaiblie en cette fin d'année 2017
Placé en détention préventive à la CPI le 17 novembre 2018, à la suite de son arrestation le 29 octobre de la même année en marge d’un incident survenu à l’Assemblée nationale centrafricaine, l’ancien chef de la milice anti-balaka, Alfred Yekatom Rombhot attend d’être fixé sur la date du début de son procès.
L'année 2018 aura été mouvementée sur le continent africain. Avec un renforcement des investissements et de la coopération avec plusieurs grandes puissances, comme la Russie ou la Chine. Tandis que l’Allemagne tente de redéfinir ses liens avec l’Afrique dans le cadre du projet « Compact with Africa » et son fonds de plusieurs milliards d’euros. Egalement sur le devant de la L’Afrique du Sud va se retirer de la Cour pénale internationale (CPI) après la controverse qui a suivi l’an dernier son refus d’arrêter le président soudanais Omar el-Béchir, selon un courrier adressé à l’ONU publié vendredi par la télévision publique SABC. La Cour pénale internationale (CPI) de La Haye a convoqué l’Afrique du Sud le 7 avril pour s’expliquer sur son refus d’arrêter le président soudanais, Omar Hassan al Bashir, lors d’une visite qu’il a effectuée dans le pays il y a deux ans. Placé en détention préventive à la CPI le 17 novembre 2018, à la suite de son arrestation le 29 octobre de la même année en marge d’un incident survenu à l’Assemblée nationale centrafricaine, l’ancien chef de la milice anti-balaka, Alfred Yekatom Rombhot attend d’être fixé sur la date du début de son procès.
L'Afrique du Sud a mis vendredi sa menace à exécution en annonçant annoncé son retrait de la Cour pénale internationale (CPI) après la polémique causée par son refus d'arrêter le
La Cour pénale internationale (CPI) de La Haye a convoqué l’Afrique du Sud le 7 avril pour s’expliquer sur son refus d’arrêter le président soudanais, Omar Hassan al Bashir, lors d’une visite qu’il a effectuée dans le pays il y a deux ans. Placé en détention préventive à la CPI le 17 novembre 2018, à la suite de son arrestation le 29 octobre de la même année en marge d’un incident survenu à l’Assemblée nationale centrafricaine, l’ancien chef de la milice anti-balaka, Alfred Yekatom Rombhot attend d’être fixé sur la date du début de son procès. En décembre, le président Jacob Zuma a promulgué la Loi n° 11/2017 portant modification de la législation sur les réfugiés. La CPI rend une décision défavorable à l’encontre de l’Afrique du Sud en raison de la décision déplorable du pays de ne pas arrêter le président Omar el Béchir (nouvelle, 6 juillet). "C'est d'autant plus décevant quand on connaît le rôle joué par l'Afrique du Sud lors de la création de la CPI (en 2002). Voilà que maintenant, ils ont manqué à leurs obligations.
L’Afrique du Sud annonce son retrait de la CPI. Une décision prise sur la polémique sur le refus de Pretoria d’arrêter le président Soudanais El-Bêcher. Une demande de retrait du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale a été envoyée au secrétaire général de l’ONU en accord avec l’article 127.1 du Statut de Rome de la CPI. Le retrait prendra effet un an après la
« La République de l’Afrique du Sud se retire » de la Cour pénale internationale (CPI), « un retrait qui prendra effet dans un an, à compter de la date de réception de cette lettre par le La CPI soutient fermement ses membres du personnel et ses représentants et demeure inébranlable dans son engagement à s'acquitter, de manière indépendante et impartiale, du mandat que lui confèrent le… Le coronavirus n’épargne pas la CPI L’� De la parole aux actes. Un an après avoir menacé de quitter la Cour pénale internationale (CPI), l'Afrique du Sud a notifié aux Nations Unies son retrait du statut de Rome. L'Afrique du Sud a mis vendredi sa menace à exécution en annonçant annoncé son retrait de la Cour pénale internationale (CPI) après la polémique causée par son refus d'arrêter le président soudanais Omar el-Béchir, un camouflet pour la justice internationale.